«  J'ai découvert Le Nénuphar en lisant La Liberté du 20 au 26 mai dernier. Quelle surprise! J’ignorais totalement son existence. J’étais à Sainte-Anne au temps du Petit Courrier et même associé d’assez près. Je suis très impressionné par la qualité de votre magazine : mise en page, illustrations, l’ensemble des chroniques, la qualité du français, la variété de l’équipe. Pour avoir participé quelque peu à une publication du genre en des temps beaucoup plus sobres, ça me donne une idée de la quantité de travail exigé pour sortir une publication comme celle-ci. Que d'heures de travail! Il faut y croire et avoir le feu! Je dois signaler que le premier texte que j’ai lu est l’éditorial de mai 2020. La qualité de la langue m’a plu beaucoup et m'a impressionné très favorablement. C'est dire que je n’hésite aucunement pour m’abonner et que j’anticipe avec enthousiasme de vous lire. Une merveille, aussi, c’est qu’on peut facilement lire tout ce qui est paru depuis les débuts et je le ferai à la longue. Un grand merci, félicitations et longue vie au Nénuphar. »

— Camille Légaré (M.), 25 mai 2020